Le sommet de Marseilleveyre
depuis la Campagne Pastré
Par la Croix du Dacota

Un petit peu de stress au moment de la séparation des deux groupes.
Est-ce que ça va pas être trop dur ?
Est-ce que je vais pas avoir peur ?
Comment on fait si on arrive pas à passer ?
C’est finalement à 13 que nous partons dans la grande rando de cette journée.
De petite montée en grande montée… jusqu’à finir à quatre pattes 🥵 nous sommes arrivés à la grotte de la colonne pile poil pour la pause banane !
Les lumières des lampes faisant ressortir les couleurs… Belle découverte !
La corniche Marius.
Y’a eu du stress c’est sûr, on se dit qu’on a pas droit à l’erreur.
Entraide, solidarité, paroles rassurantes, ont permis à tout le monde de passer sans encombre.
Noter une jolie remontée dans un couloir d’aragonite jusqu’au col des chèvres.

Maintenant le pas du pin.
En descente et surtout patiné par les multiples passages : pas commode !
Concentration et accompagnement ont porté leurs fruits… Difficultés vaincues.
Néanmoins, d’un commun accord, un petit câble ou une main courante serait bienvenu à cet endroit.
À midi nous étions à la croix du Dakota où Iris nous a conté l’histoire de cet épisode tragique de la fin de la dernière guerre mondiale.

Après le repas pris au sommet de Marseilleveyre nous sommes redescendus par un chemin raide tortueux rocailleux… Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué 😂.
À 15h45 attablés en train de déguster pogne chocolats et boisson chaude avec l’autre groupe… elle est pas belle la vie avec les AN👍🫶
CB